Chantier de battage d'autrefois
Le grain était récupéré en sacs de 100kgs livrés ensuite au silo, à la gare, ou bien stockés dans les greniers pour l'alimentation des bêtes. Quant à la paille, c'est la presse « tête de cheval» qui se chargeait de la presser en ballots de 35 ou 40 kilos liés avec du fil de fer. La batteuse d'aujourd'hui est une MERLIN n°5 fabriquée à Vierzon. Nous l'avons récemment achetée en Beauce. La presse est une BROUHOT également fabriquée à Vierzon. Elle provient d'une entreprise des environs d'Evreux.
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